Ahhhh, La douce odeur de l'été qui commence, le soleil qui recommence à chauffer la moindre parcelle de peau à découvert, les oiseaux qui revienne chanter dans la cours, les arbres et leurs jolies fruits...
Une saison parfaite, tout comme ce jour. Mike en profita pour aller manger dehors, car pourquoi se priver de l'ambiance si souple, si calme ... seul sur un banc, le jeune homme est vraisemblablement en parfaite harmonie avec son environnement, il rêvasse silencieusement, avec un visage si détendu qu'il parait ... idiot. Oui c'est le mot, même si dans sa tête il est devenu une vrai petite fleur, il à plutôt le look d'un légume. Aucun mouvement depuis une dizaine de minute, une boite remplis d'une salade accompagné de tomate à l'allure suspecte, son thé (Froid depuis sûrement longtemps) posé sur le sol à quelques centimètres de son pied, on pourrait le confondre avec un artiste de rue posant pour quelques pièces.

Iris revenait tout droit de la salle de son club de cuisine, elle s'était préparée un joli plat traditionnel japonais dans son bento de tous les jours qui, a force d'utilisation, n'avait pas fière allure. Elle en avait profité pour préparer quelques paniers repas pour ses amis, ça lui faisait plaisir de savoir que sa cuisine touchait ses camarades de classe qu'elle apprécie tant.
Elle avait décidé de manger dehors pour profiter du soleil tapant et n'avait personne avec qui manger à la cafétéria, les tables de ses amis sont quelques fois remplies et elles ne peuvent pas toujours accueillir le grand cœur d'Iris.
Retour au moment présent, Iris et son panier repas soigneusement tenu entre ses mains délicates se dirigent vers un banc libre pour se poser. Mais SOUDAINEMENT, le choc ! Quand elle passe devant un beau garçon blond qui avait l'allure gracieuse d'un magnifique légume bien frais, elle perd ses moyens et ses pieds entrent en collision, faisant tomber ses jambes frêles en avant. Rien à craindre, plus de peur que de mal ! Iris est retombée sur ses genoux nus ce qui certes ne doit pas être très confortable mais au moins elle ne ressemble pas à un asticot qui se débat par terre contre la gêne et l'embarras de cette situation. Mais... Catastrophe ! Le vieux bento d'iris, celui qu'elle a depuis qu'elle est dans ce lycée, celui que lui avait offert ce gentil scientifique lors de son entrée dans l'académie... Il s'est cassé !
Même si les genoux d'iris se mettent à saigner quand elle se relève, ça ne reste pas aussi moche que de voir s'étaler au sol le plat qu'elle s'etait si durement préparé...

Le rêve éveiller de Mike se termina quand les genoux de la fille touchèrent le sol.
Il revint subitement à la réalité et se leva pour aider la jeune fille, un plan parfait, enfin si il avait retiré la boite de ses genoux et c'était rappeler de la position de sa tasse près de ses pied...
L'action héroïque se transforma en carnage, sa salade tomba sur les plat de la jeune filles les faisant tombé au sol, le thé se déversa sur tout survivants de la chute, l'image des aliments divers et varié pataugeant dans un liquide tiède frappa à la rétine du jeune homme, un jolie petit portrait apocalyptique sur une flaque de quelques centimètres. Voulant quand même aller réconforté l'inconnue à qui il avait gâcher la journée, l'adolescent passa par dessus son oeuvre d'art accidentel et accouru vers la jeune fille pour l'aider à se relevé, comme tout bon gentleman ferait



-Mille excuse je.. je vais te repayer ça et ... Tu t'es pas fait trop mal ?



Il portait un visage à la fois préoccupé, et essayant d'être rassurant, mais la tâche de vinaigrette sur sa chemise et sa chaussure trempé de thé ne l'aidait pas. Cependant on voyais une réel inquiétude pour la condition de la jeune fille, plus que pour l'état de son repas...

Tout se détruit en quelques secondes sous les yeux dont les iris d'Iris montraient du scandale, son visage fin et étiré se crispa quand l'horrible salade pâteuse ainsi que le thé tiède du beau légume blond entra en contact avec sa délicieuse pâte qu'elle avait préparé avec autant d'amour qu'un lapin rose aux gros yeux. Tout cela se passa au ralenti, le désespoir, la haine, la tristesse, tout se mélangeait dans les larmes qui n'osaient pas sortir des yeux d'Iris, intimidées par l'ombre qui vint se dresser devant elles.
Le temps repris son cours, grâce à l'ombre. L'ombre du beau garçon qui venait de lui tenir gentiment le main pour l'aider à se relever.
C'est à ce moment là que, comme les tomates douteuses de la salade du beau blond, Iris se met à rougir et perd tous ses moyens rapidement.
- Je... Heu... Non désolée je suis déjà abonnée à ce journal...

Mike la regarda avec un regard étonné, sur qui il était tombé ? Enfin plutôt sur qui il avait fait tombé son repas. Il souleva légèrement la jeune fille pour la remettre sur pied, elle était étrangement légère. Elle rougis beaucoup, j'espère que je n'ai pas déclenché un mécanisme de défense qui vas la faire exploser ? Dans ce lycée on pouvait s'attendre à tout, et ça Mike l'avait vite appris...à ses dépend, mais sortant rapidement de ses pensés, il demanda en levant un sourcil

-Excuse moi ? De quel journal parle tu ?



Le soleil reflétait sur ses grands yeux, leurs donnant une magnifique couleur ambré, quand à lui, Mike gardait un air étonné, mais commençait à sourire, surement amusé de la situation, ou de la tête de la jeune fille. Il essayait de garder son sang froid, mais le coin de sa bouche le trahissait, un petit pli qui voulait dire qu'il pouvait éclater de rire à tous moment

Quand elle se rendit compte qu'elle avait dit n'importe quoi devant le garçon à la chevelure blonde rayonnante comme la lueur chaude du soleil, Iris se mis a secouer rapidement sa tête de gauche à droite comme pour se réveiller d'un cauchemar. Sauf que... pas de bol, c'était bien la réalité, et elle passait pour une idiote. 
Sa réaction l'embarrassait encore plus et la faisait d'autant plus rougir, elle aurait d'ailleurs pu exploser.
Ses yeux qui tournaient maintenant montraient admirablement qu'elle était totalement perdue devant tant de gentillesse, que faire ? QUE FAIRE ?!
Elle repris assez vite son calme pour le bien de tout le monde, mais n'osait pour autant affronter son regard et son sourire des yeux.

- Je... Désolée. Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

Drôle de question pour quelqu'un qui avait vu son repas s'écraser au sol, une sorte de choque post traumatique ? Qui lui aurait fait perdre la mémoire sur le cours terme ? Même si l'occasion était parfaite pour faire une blague ou profiter de la situation, le jeune homme s'en voulais et il garda sa tentation pour lui et répondit :

-J'ai complètement oublié que j'avais ma salade sur mes genoux, je me suis précipité pour t'aider mais j'ai empiré la situation ...


Il tenta un sourire maladroit entre peine et rigolade, c'était parti d'une bonne attention, et c'est terminé en horrible drame...
Non seulement son repas était foutu, mais son "napron" était dans le même état, Mike de son côté s'en tirait avec peu de dégâts, une chemise à laver et des chaussure à faire sécher

Mais oui c'est vrai... LE REPAS ! Le désespoir revint alors rapidement se glisser en Iris, faisant baisser sa tête tout aussi hâtivement. Les larmes d'abord intimidées par l'ombre du gentil garçon qui s'étaient jusqu'ici contenues en masse, coulèrent lentement le long de ses joues. Elle releva brusquement la tête, emportant ses cheveux maladroitement attachés en arrière, et fit une expression tout aussi abattue que ridicule.

- Mon... bento...

Elle essuya ses larmes avec ses gants en cuir de couleur assez claire puis se mis a une distance d'au moins un mètre et demi de Mike et esquissa un sourire réservé, présentant un faciès timide, peut-être un peu craintif.
Ses genoux saignaient légèrement, ses blessures s'apparentaient plus à des écorchures qu'à des grosses blessures de guerre.

- Hum... Enfin, merci de m'avoir aidé à me relever !

Tout sourire disparu du visage de Mike au moment où les rayon de soleil éclairèrent les larmes brillants sur ses joues, la situation n'avait plus rien de comique. Il ne pouvait pas revenir en arrière

-Je-Je suis sincèrement désolé, je vais te repayer absolument tout ou ...


Il remarqua le Bento de la jeune fille, voulant probablement dire qu'elle faisait parti du club de cuisine, une idée lui traversa l'esprit

-... T'aider à le refaire ? Tu les avais fait maison non ?


Une sacré idée de sa part sachant que ses talents de cuisinier se limite à des pâtes trop cuite. Il se gratta la nuque abordant un regard et un sourire gênés, un gestes qu'il fait très souvent quand il est sous les cris d'un quelconque professeurs ou surveillant.

L'attitude de Mike semblait de plus en plus l'atteindre et la toucher, elle fit un sourire plus détendu après avoir entendu sa proposition. Elle avait l'impression que toute sa vie, personne ne lui avait jamais proposé quelque chose d'aussi attentionné. Elle ne s'en cachait d'ailleurs pas vraiment, son sourire voulait même tout dire lorsqu'il tremblait un peu. Elle ne répondit que par un hochement de tête toujours timide et par quelques mots.

- Ça me va... merci beaucoup !


Elle examina tout de même ses genoux, ça n'avait pas l'air de vouloir s'infecter et ses blessures ne lui faisaient pas encore assez mal pour s'inquiéter. Elle releva la tête et, tout gardant un mètre et demi de distance avec Mike, pointa une direction.

- Je fais partie du club de cuisine, je peux t'y amener ! Enfin... si ça ne te dérange pas...

Plus heureuse que jamais, Iris était d'abord vraiment touchée par tant de gentillesse de la part de Mike.
La dernière fois qu'elle avait ressenti ça remonte à au moins un an et il faut dire que parfois, un peu d'attention ça ne fait pas de mal !
Cependant elle compris rapidement par l'attitude gênée du garçon, qu'il n'avait pas réellement envie de cuisiner avec elle. Visiblement déçue d'avoir remarqué une telle chose, son sourire s'effaça quelques temps avant de réapparaître sous une forme moins à l'aise. Iris, qui avait commencé à se rapprocher un peu de Mike, recula de quelques pas comme pour se remettre à sa place. Elle s'excusa alors :

- Oh heu... Désolée en fait je crois que je devais rejoindre une amie quelque part, t'en fais pas pour mon repas et pour mon genou ! Je vais me débrouiller !

Sur ces mots, elle entama une marche lente vers on ne sait où.

Iris fut étonnée de voir que Mike l'avait retenue, étonnée... mais pas très longtemps.
Il venait de la prendre par le bras, grossière erreur de sa part. La malédiction allait lentement le ronger, le dévorer peu à peu sous l'apparence d'un frémissement, d'une secousse de peur dans son cœur électrique. Mais elle allait aussi emporter Iris et sa réputation avec. Encore une personne, encore un camarade de classe qui allait encore une fois la fuir à cause d'un contact physique. Pourquoi fallait-il que la vie soit si cruelle et malfaisante parfois ? Mais surtout...

Pourquoi envers mFGHZZZZZPCHT... !!!


Elle ressentit d'un coup le léger coup de courant qui, avec l'effet d'une grosse décharge, les sépara rapidement (comme l'éclair). Assez confuse de ce qu'il venait de se passer, Iris, en s’emmêlant à nouveau les pattes, tomba au sol à côté de Mike. Elle le regardait en écarquillant les yeux et après un moment de silence, dit :

- Qu'est-ce que... Hé ! Oh non... Est-ce que ça va ?!

Iris se releva à son tour, vraisemblablement autant gênée que Mike. Elle recula un peu pour éviter tout geste maladroit qui pourrait encore conduire à un contact physique.
Elle était certes déboussolée par ce qui venait de se passer mais elle semblait tout de même heureuse et satisfaite de la nouvelle réaction de Mike, il avait quelque chose de spécial et elle le sentait. Il ne l'avait pas fuit la première fois qu'il l'avait vu, il lui avait gentiment proposé son aide et maintenant quoi ? Même s'il venait de goûter à son pouvoir assez... amer, il n'avait pas fuit, il n'avait... juste... pas fuit. 

- Je... Désolée... Il vaut mieux que tu restes loin de moi.

Iris comptait partir pour (ironie du sort) fuir cette situation, mais la phrase que le gentil et beau garçon venait de prononcer en même temps la força à rester auprès de lui. Elle était intriguée mais surtout avait un peu peur de ce qu'il allait lui demander.

Les rayons de soleils vinrent briser la glace au même moment où les mots chaleureux de Mike sortirent avec tendresse de sa bouche fine, je vous l'avais dit qu'il était spécial ! Enfin heu... non ! Qu'Iris le trouvait spécial ! (Hum... Reprenons !)
A nouveau, celui-ci perça le grand cœur d'Iris avec une fine aiguille pour y injecter un peu de bonheur, tout cela avec autant de délicatesse qu'un chirurgien expérimenté, sûrement prêt à prendre sa retraite pour partir rejoindre le soleil du sud qui nous sourit toujours un peu de la même manière.
Iris n'avait pourtant pas oublié ce qui venait de se passer et, bien qu'elle semble porter ce garçon aux cheveux-rayon-de-soleil dans son cœur, elle se méfie toujours un peu car pour elle, il n'a jamais été très bon de s'attacher trop vite à quelqu'un. Et puis quand bien même ils finiraient par devenir les meilleurs amis, aucun contact physique ne serait envisageable, pas même un câlin, pas même une tape sur l'épaule. Il se lasserait sûrement très vite de cette relation, c'est ce qu'Iris se dit.

Pendant qu'elle pensait à tout ça, un blanc s'installa entre les jeunes tourtereaux. Du point de vue de Mike elle avait sûrement l'air de chercher son prénom dans sa petite tête d'adolescente perturbée. 
Iris décida alors de se réveiller de son coma de quelques secondes dans ses pensées pour lui répondre le plus vite possible, hum... peut-être un peu trop vite, non ?

- Maurice Vaudaux ! Heu non... ! Iris ! Iris Sayako... C'est mon nom !

... Bien joué Maurice...

A ce moment là, Iris se serait bien claquée ou se serait bien cachée dans un trou. Mais elle devait juste faire face au regard gentiment moqueur de Mike. Mike... quel beau nom ! Mike Beaver, sans savoir pourquoi, Iris avait l'impression qu'elle connaissait déjà son prénom tellement il lui allait bien. 

- Ou-Oui, Iris ! Et bien Mike... c'est un joli prénom !

Iris n'était pas habituée à ce que quelqu'un soit aussi proche qu'elle... oralement. S'intéressait-il vraiment à son prénom ? Personne ne s'intéressait vraiment à son prénom ! On l'appelait juste "Toi !" ou "Hé", mais jamais Iris ! Il lui procurait une sensation très confortable, son charme prenait la forme d'un énorme coussin douillet. Et puis elle le trouvait aussi drôle en plus d'être mignon, le fait qu'il parle de ses petits surnoms en posant lui donnait un peu plus l'air ridicule que super fort, de plus, ses sourires de fin de phrase la faisaient aussi rire timidement. Perdue à nouveau dans ses pensées quelques secondes, elle se rappela soudainement qu'elle devait subir un rapide questionnaire par Mike, elle repris alors :

- Hum... tu voulais me poser une question ?

Les silences de la jeune fille, en effet, ne passaient pas inaperçus. Son temps de réponse faisait penser à un micro-onde mis sur 30 secondes, le temps de réchauffer un peu son cerveau congelé afin de briser la glace. Elle mis d'ailleurs un peu de temps à rejoindre Mike, restant plantée au sol comme une bougie dans un gâteau d'anniversaire. Iris gardait ses distances pour ne pas qu'une catastrophe ne se produise à nouveau, et elle avait raison ! 
Elle écoutait la voix doucereuse de Mike prendre possession de son corps entier, mais avec toute la lucidité du monde, compris rapidement qu'il n'était pas très à l'aise. Sûrement à cause de ce qui venait de se passer, peut-être qu'elle lui faisait... peur ? Peut-être que le goût qu'elle lui offrait n'était pas aussi sucré qu'elle l'imaginait, était-ce là de l'acidité ? Ou encore pire... de l'amertume ? Je t'en prie Mike, n'émince pas son pauvre petit cœur comme une volaille en la lâchant maintenant ! 
Au plus profond d'elle même, Iris était légèrement paralysée par la peur de recevoir une grosse décharge mais finalement elle répondit avec plus de calme qu'un agneau candide avant d'être mangé.

- Je... Je suis une anormale. Pas besoin de tourner autour du pot, quand quelqu'un entre en contact physique avec moi je lui fais voir des choses horribles. Mon père disait que c'était un moyen de défense très poussé, une sorte de super pouvoir que je n'arrive pas à gérer. Finalement au lieu de me protéger, il m'isole, d'ailleurs... toi aussi tu dois avoir peur de moi maintenant, non ?

Le père dont elle parlait était en réalité le scientifique qui pensait avoir trouvé une raison au déclenchement de son pouvoir, mais ça ne restait que des suppositions. Iris n'avait pas l'air d'avoir peur de s'exprimer, qu'avait-elle à craindre ?
Il finira bien par me fuir, lui aussi...
C'était ce qui lui venait à l'esprit, sûrement pour éviter d'avoir trop mal si cela arrivait vraiment.

Encore et encore, les paroles de Mike réchauffaient Iris jusqu'aux joues, elles faisaient cuire à 55°C son cœur pour ainsi lui laisser sa belle teinture rouge. Je ne peux rien dire de plus que : "super bleu", bien joué Mike.
Déjà, il lui fit comprendre qu'elle ne risquait pas de lui faire plus peur que ça, ce qui étonnait beaucoup Iris. Bien que les gens ici étaient un peu tous bizarres, ce n'était pas une raison pour ne pas se mettre hors de danger en fuyant les pires. Mais... peut-être qu'Iris ne faisait pas partie des pires ?
Cette pensée lui vint soudainement à l'esprit, mais pourquoi les gens la fuiraient si elle n'était pas aussi horrible qu'elle ne le pensait ?

- ... Je vois, merci beaucoup... Mike !

Elle ressentit à nouveau la gêne créée par le réflexe qu'est le faire une tape sur l'épaule de quelqu'un qu'on veut rassurer amicalement qui, pour le coup, n'a pas pu être exercé par Mike sur Iris. Elle espérait quelque part qu'il s'y habitue rapidement, il le fallait bien... s'il voulait devenir son ami. 
Mike dit alors qu'il songeait à se racheter, ce qui lui rappela rapidement la situation initiale : le plat, la cascade, la bouillie, les vieilles tomates trop sèches de Mike, la main sur son bras...
Elle réagit alors plus rapidement que d'habitude, visiblement gênée.

- Quoi ? Heu... Non ! Je veux dire... ne t'en fais pas pour ça !


Au même moment, sa tête se tourna vers l'oiseau et le tas d'aliments mélangés, était-ce de la vinaigrette qui dégoulinait ? Pourquoi avait-elle cette couleur atroce ? Comment un volatile pouvait déguster une telle substance... peut-être chimique !