Tout commença une journée au tout début du 17e siècle à Paris. Une jeune fille nommée Françoise Duvent est morte de la variole. Tout été fait pour qu’elle survive mais rien ne marcha. Son père était toujours là pour depuis de sa mère de la même maladie cependant il ne put retarder l’inévitable. Cette mort était pour lui celle de trop. Il était quelqu’un de solitaire. Il n’avait que peu de connaissances en dehors de son métier de forgeron. Sa fille était tout ce qui lui restait.
Incapable de faire son deuil, le père tenta de la ramener du monde des morts. C’est là qu’il rencontra une femme aux cheveux corbeaux nommé Anne de Bal de La Garde, une noble habitant aux frontières de la ville. Beaucoup de rumeurs circulaient sur elle dont certaine disant qu’elle serait une grande sorcière ayant déjà réussi à ramener un humain à la vie.
Le pauvre forgeron alla lui demander de sauver sa fille ce qu’elle acceptât contre tout ce qu’il fallait pour réussir le sort dont par exemple quelque de ses cheveux ou bien du sang de jeune enfant. Une nuit de pleine lune, le rituel a commencé. Le père a apporté tous les ingrédients nécessaires au sort ainsi qu’un corps pour recueillir l’âme de la défunte qui était une poupée créer par un ami artisan ressemblant pour portrait à Françoise. On aurait même pu dire qu’il était difficile de la différencier d’un être humain. À l’aube, la sorcière avait achevé son rituel et la poupée, qui était sans vie, ouvrit les yeux.
Après cet évènement, la poupée vivait avec son père en se cachant dans la maison. Sa réincarnation a eu quelque inconvénient. Par exemple, sa personnalité est restée la même mais elle a perdu tous ses souvenirs et ne peut plus sortir le jour sans faire une combustion spontané à cause du soleil. De plus, elle a également obtenu un talent pour tout ce qui touche à la sorcellerie et une marque sur la cuisse gauche en forme d'aile.
Ayant éveillé en lui un intérêt pour la magie, le forgeron commença à aller voir régulièrement Anne afin d’en apprendre plus sur le sujet. Malheureusement, un jour, ils se firent prendre par un paysan qui passait par là et qui alerta les autorités qui s’empressèrent de capturer les criminels.
Pour avoir utilisé la sorcellerie, les deux étaient condamnés au bucher. Le jour avant l’exécution, Françoise pleurait dans un coin quand un homme apparut en lui donnant un message de son père lui disant de fuir la ville. La nuit suivante, elle se dirigea dans la forêt à contre cœur d’abandonner son pauvre père.
Elle passa quelque siècle à vivre caché au fin fond d’une forêt dans une cabane. De temps en temps, elle retournait à Paris pour voir comment était devenu la ville et aidait ce qui était dans le besoin. Ses étranges apparitions on fait en sorte qu’elle soit presque devenue une légende urbaine. Celle du "fantôme généreux".
Vers le début du 20 ^e siècle, Françoise se dit qu’elle pourrait recommencer à entrer en contact avec des humains vu que les attaque contre la sorcellerie avait diminué. En allant plus au sud, elle rencontra une famille riche, composé d’un homme, d’une femme et deux enfants ayant 10 ans de différence, très gentils qui ont accepté de la prendre comme domestique.
Tous allaient bien après cela. Dû à sa condition, la poupée faisait tout en sorte qu’on ne voit pas ce qu’il pourrait révéler la vérité sur sa nature et ne travaillait que la nuit. Elle s’entendait très bien avec la famille et les domestiques. Elle devint même la meilleure amie de la fille cadette qui s’amusait à l’habiller avec des tenues qu’elle créait comme si elle jouait avec une poupée.
Il y avait qu’une personne qui ne l’appréciait pas. Un autre domestique nommé Charlie. C’était quelqu’un d’orgueilleux qui faisait tout pour avoir un air bienveillant auprès de ses maitres quoiqu'il soit une vraie langue de vipère. De plus, il détestait au plus au point tout ce qui touchait à l’occulte et vu que Françoise portait un intérêt très fort vers ce domaine il était naturel qu’il la déteste.
Pour leurs vacances de l’année 1915, la famille a décidé d’aller en croisière dans un bateau faisant la visite de du chine et du Japon. Ils permirent à quelque domestique de les suivre, dont Françoise et Charlie, des suivent.
Une nuit, pendant que le bateau était proche de la côte est du Japon, Charlie entra dans la chambre de Françoise en trombe pour l’alerter d’un énorme problème quand découvrit qu’elle s’habillait et qu’elle avait des articulations ressemblant en tout point à celle d’une poupée. Devant cela, il prit peur et fuit vers le pont. Ne comprenant pas ce qu’il arrivait, elle le suivit en demandant ce qui se passe. Arrivée au pont, elle vit que le bateau était sur le point de frapper inévitablement un énorme rocher.
Quand ceci arriva, le bateau se pencha vers la droite pendant que des centaines de passagers se dirigeaient vers les canots de sauvetage. Le mouvement du bateau l’emporta avec Charlie d’un côté du bateau contre les barrières qui était la seule chose la retenant de tomber dans l’eau. Encore sur le choquer ce qu’il a vu, le domestique poussa par peur la poupée qui passa par-dessus bord vers l’océan où elle sombra.
À partir de là, elle perdit la notion du temps. Emporté par les vagues vers une destination inconnue sans pouvoir s’y opposer, elle voguait sans pouvoir choisir la destination et sans avoir la mort comme délivrance à cet enfer.
Après un laps de temps si long que Françoise ignorait la longueur, elle se retrouva sur une plage. Soulagée et heureuse d’avoir retrouvé la terre ferme, elle se leva difficilement en observant sa robe déchirée. Elle se balada dans la ville tranquille. En voyant le panneau, elle devina qu’elle était au Japon mais pas quand. Elle hésitait entre plusieurs dizaines voire un siècle après qu’elle est tombé de ce bateau.
Finalement, la poupée trouva un bâtiment pour s’abriter du soleil qui se levait. Elle lit le panneau où il était écrit ‘Natsuyami Academy’.