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[I+3 Novembre] [PV Hige Yanaro] Projet scolaire
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Anonymous
Dim 21 Mai - 21:41
Il fait beau, aujourd’hui. Magnifique, même. Un peu chaud, par contre. Le soleil est bien là, il n’y a pas un seul nuage dans le ciel. L’ombre des arbres fait du bien. Cette journée de Novembre rappelle l’été passé, comme une petite carte postale qu’on garde en souvenir. Les étudiants sont tous de sortis, durant cette pause de midi. Ils se prélassent au soleil ou à l’ombre. Ca rit, ça crie, ça court en tout sens, comme des enfants en bas âge. Mais ne sont-ils pas jeunes, en réalité ? Face à mes 135 ans d’existence…  Mais qu’ils profitent donc de cette jeunesse débordante d’énergie ! La vie humaine passe si vite, ils auraient tort de ne pas la vivre à fond.
Vêtue d’une robe blanche en coton chaud étonnamment dénudée pour une fois, je me balade à travers le campus pour fixer des affichettes partout. Ne vous méprenez pas sur la robe, par contre. J’ai l’habitude de porter des robes qui vont du cou jusqu’aux pieds. Cette fois, elle s’arrête aux genoux et dévoilent mes bras. J’ai même eu l’audace de faire un laçage en ruban dans le dos, découvrant un peu plus de peau. L’avantage d’être prof, c’est qu’on est plus obligé de porter l’uniforme. Et puis, je n’ai pas cours de la journée, l’un de mes rares moments de tranquillité. Bien que mes cours soient en général pas mouvementé, puisqu’il n’y a personne ou presque. Mon grand chapeau de paille m’évite d’être aveuglée, tandis que je traverse une zone sans arbres, les affichettes sous le bras. Elles ont été faites par une de mes rares élèves qui vient en cours, pour présenter notre projet. Cette élève fait également parti du club de loisir en plein air, une aubaine.
Il y a quelques temps, nous avions fait un projet caritatif à l’intention d’une association d’enfants défavorisés. En cours, nous avions cousus des doudous et nous les avions apportés. Nous avions été cinq à participer, mais nous avions fait des dizaines de peluches colorées, qui avaient fait le bonheur de leur nouveau propriétaire. Aujourd’hui nous avions décidés d’organiser un nouveau projet ; rénover de vieux objets pour les donner à la même association. Nous avions déjà récolté tout un tas de meubles usés et même quelques bijoux noircis. Il nous manquait maintenant que de la main d’œuvre pour mener à bien notre projet.
J’accroche l’affiche à un arbre, grâce à un système de corde. Plastifiée, elle résistera au mauvais temps. Colorée, elle attirera le regard. Mais concrètement, je ne sais pas ce qu’il y a marqué dessus. Je suis incapable de déchiffrer les symboles. J’en connais la teneur, mais pas le détail. « Rien ne se perd, rien ne se créer, tout se transforme : venez nous aider à rénover !  Tout sera ensuite donné à l’association de Shisaido pour les enfants défavorisés ! » Quelque chose dans le genre. Il y avait également une jolie photo de la salle de classe, encombrée de mobilier et de choses en tout genre, prêts à être rénovés, avec quelques élèves souriants dessus. Il n’y aura certainement pas foule pour nous aider, mais si ces affiches peuvent drainer encore quelques élèves…
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Lun 5 Juin - 14:41
Hige et moi courons comme des dératés dans la cours, je sais même pas si s'était une course ou quoi que ce soit d'autre mais on courait sans but. Hige riait à côté de moi. Ah, vivement les vacances qu'on aille à la plage se baigner, courir dans le sable, jouer à n'en plus finir ! Ou alors à la montagne pour crapahuter dans les rocher, revenir plein de boue et recommencer !
Hige fini finalement par ralentir. J'oublie régulièrement que quoi qu'il se passe, il reste un humain et donc que de l'endurance, il en a pas autant que moi. Alors il ralenti et s'arrête, soufflant comme un boeuf et un franc sourire aux lèvres. Je l'entend penser "je vais bien dormir ce soir moi"

- Je vais bien dormir ce soir !

Il sait que j’entends ses pensés mais il aime les formuler quand même, il m'a dit un jour que ca lui donnait l'impression d'un vrai dialogue avec des sons et qu'il aimait ça. Alors je respect et je ne me moque pas, ca n'aurait aucun sens et j'en avait pas non plus envie.

Je lui répond par un aboiement joyeux et il me sourit. J'ai encore envie de courir, il le sait.

Hige va alors chercher la bbal qu'il avait enmener pour me la lancer. Ce jeu est d'une stupidité sans nom puisqu'il n'a aucun véritable interet mais moi, je l'adore. Et Hige aussi par extension.

Je vois la balle partir de son bras et s'envoler loin, loiiiin. Je me met à courir de toutes mes forces pour la rattraper, plus rien ne compte à présent, rien que cette balle et je ne regarde qu'elle.

Hige rit derrière moi alors j'accélère encore. Je sens mes poils être secoués par la brise, je sens ma langue pendre joyeux hors de ma gueule et je sens que je rentre dans quelque chose.

J'entends les "désolés" paniqués de Hige et je vois la jeune femme dans laquelle je suis rentré. Je baisse honteusement la tête en signe de soumission. Une demande de pardon canin et je prie (drôle de concept d'ailleurs) pour que la jolie dame me pardonne et n'en veuille pas à mon "maître".
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Anonymous
Lun 5 Juin - 15:44
Bam. Quelque chose me rentre violemment dedans et je m’écroule. Plus surprise qu’en colère, je me retourne, pour tomber nez à nez avec un gros chien ressemblant à un loup. Un jeune homme arrive en s’excusant, mais j’entends surtout le chien qui s’excuse. Il me prie de le pardonner et de ne pas en vouloir à son maître. Drôle d’intonation sur le ‘maître’. C’est sur lui que je me focalise, plutôt que sur le jeune homme. Je souris à l’animal et je lui réponds ;

« Ce n’est pas grave. Et puis, je ne vois pas pourquoi je t’en voudrais, alors que tu ne l’as pas fait exprès. »

Je me relève, lui donnant une petite caresse timide pour lui montrer que je ne lui en veux pas le moins du monde. Il n’a pas l’air méchant, c’est pour ça que j’ai osé ce geste. Je me tourne vers ledit maître. Un jeune homme aux traits avantageux, au physique athlétique et qui n’a pas l’air plus farouche que son ami animal.

« Ne vous excusez pas. C’était un accident, il y a plus de peur que de mal. »

Je lui lance un gros sourire, tout en époussetant ma robe. 

« Je m’appelle Béryl, et vous ? »

Je m’adresse autant à l’humain qu’à l’animal, puisque les deux peuvent me répondre. L’avantage de comprendre les animaux. C’est comme dans leur série télévisée, là, chez les anglais. Doctor Who. J’ai un Tardis intégré à mon cerveau, un traducteur automatique qui marche sur n’importe quel langage animal
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